La Station V a accueilli au mois d’octobre deux ateliers participatifs issus du dispositif Ete culturel

Autour de l’exposition The Europeans – atelier animé par Eloïse Lem

13.10 > 15.10

L’Été culturel est un dispositif proposé par le ministère de la Culture et mis en œuvre par la Direction régionale des Affaires culturelles de Nouvelle-Aquitaine.

Au sein du dispositif Été culturel avec comme point d’entrée le projet The Europeans, le Second jeudi a dessiné un projet de médiation qui permette à des publics éloignés de découvrir cette démarche et se l’approprier. L’association a invité Eloïse Lem, jeune artiste qui explore le champ des assignations identitaires dans son travail personnel, à porter un atelier à destination des adultes, un atelier à destination des enfants.

A visage découvert

Atelier participatif à destination des adultes – exploration photographique du quartier environnant à la manière de The Europeans.
Un regard singulier sur le quartier Saint-Esprit,
Avec la participation de Ali, Gilles, Pascale, Guillaume, Evelyne, Tristan, Sébastien, Elodie et Xavier.

En partenariat avec les structures de la SEAPB, la Maison Relais et Loreak.
Photographies archivées sur le blog https://elemarchand02.wixsite.com/a-visage-decouvert

Mascarade

Atelier participatif à destination des enfants – élaboration des costumes clés de la Mascarade souletine, thème de l’exposition The Europeans,
Beltzak / Gorriak
En partenarait avec le Centre social Dou Boucaou.

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Mascarade, atelier Eloïse Le Marchand, 2022 – photo Le Second jeudi

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À visage découvert, atelier Eloïse Le Marchand, 2022 – photo Le Second jeudi

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À visage découvert, atelier Eloïse Le Marchand, 2022 – photo Le Second jeudi

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À visage découvert, atelier Eloïse Le Marchand, 2022 – photo Le Second jeudi

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Mascarade, atelier Eloïse Le Marchand, 2022 – photo Le Second jeudi

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Diplomée de l’Ecole Supérieure d’Art de Toulouse après l’obtention du DNA de l’Ecole Supérieure d’Art Pays Basque,
Eloïse Lem vit actuellement à Montreuil.

Mon travail se situe autour d’une réflexion, de ma position de femme afro-descendante française. La notion de canon et de norme à été pour moi le moteur de réflexions et de créations multiples. Cette idée de corpus d’oeuvres « modèles » à imiter avec pour objectif d’éduquer à nourri mes questionnement sur l’identité. Si l’on prend cette idée de canon au sens large, il est intéressant de réfléchir, à la nature des conventions définissant la norme, ainsi qu’aux conditions de possibilités et de réalité de la transgression. 
A travers des propositions plastiques et pluridisciplinaire (peinture, photographie, installation) j’essaye de faire cohabiter idéologies passées qui ont fomenté notre société comme le colonialisme et son héritage, avec théories esthétiques occidentales, héritées d’une histoire de l’art qui s’est imposée au monde presque comme histoire universelle. Entre l’intime et la grande histoire.

Tribulation (street) artistiques

17.10 > 22.10

Accueil d’une fresque participative de Marie Pressmar, artiste muraliste et graphiste, lors du festival Points de vue, sur la cimaise XXL de la Station V.
Avec en parallèle dans la galerie la restitution de l’atelier d’écriture animé par Méryl Marchetti, avec la participation des jeunes de la MVC Centre-ville Bayonne- atelier participatif porté par l’association Spacejunk dans le cadre de l’Eté culturel.